À venir à l'Échonova

❤️ Si vous aimez : Ben PLG, B.B Jacques, le réalisme et la poésie
🍻🍔 Bar et restauration sur place
🧍Placement libre et debout
Wallace Cleaver ne se limite pas à une seule influence rap, naviguant déjà à travers tous ses sous-genres et rythmes. Il explore le domaine de la chanson, de la pop et du spoken-word à travers ses textes introspectifs. Accompagné par son binôme PR au piano, il oscille entre des sonorités aériennes et percussions brutes. Évitant toute catégorisation, il mise sur l’innovation et le risque, tant dans sa musique que dans ses visuels, pour tracer un chemin unique et audacieux.« Merci », c’est la conclusion que Wallace tire en écrasant sa dernière cigarette dans le cendrier. Un LP de 11 titres où les thématiques de l’artiste sont plus fortes que jamais, les contradictions sentimentales qui poussent à tirer un trait sur une relation puis la fantasmer par après. Wallace digère des inspirations contraires pour mieux les recracher, le passé et l’avenir s’entremêlent, l’urbanisme et la ruralité s’entrechoquent, dans un cœur qui semble ne plus avoir de recul face à l’immensité de ce qu’il ressent. « Merci » est donc une oeuvre intime, familiale jusque dans sa conception, épaulé par son binôme PR à la composition comme depuis maintenant 3 projets, une amitié qui permet de sortir une musique sincère, qui oscille entre plus pur rap français comme sur « Le Bus », la chanson pop dans « Plafond », et le spoken word qui ouvre et conclut l’album, une manière qui permet à l’artiste de se livrer en dépouillant son phrasé. La pochette (étant réalisée par la sœur de l’artiste), y représente 5 cigarettes, comme les 5 lettres du titre, composant chaque étape d’une relation vouée à l’échec, mais qui permettra d’en raconter le voyage.
Henri Bleu est un jeune artiste à l’écriture sensible, porté par un goût pour les contrastes. Entre introspection et intensité, entre Paris et les paysages plus silencieux de son enfance, il construit une œuvre profondément personnelle, marquée par la nostalgie et la recherche de sens. Ni totalement dans l’ombre ni encore sous les projecteurs, il avance détermination en cultivant une esthétique à la croisée des émotions et des textures sonores. Révélé par son passage dans le Grünt 57, c’est le projet “REGARDE” qui marquera un premier tournant dans sa carrière, posant les bases d’un univers dense, mélancolique et sincère. En 2025, il dévoile 1 rue des Panoramas, un EP narratif et ambitieux, qui explore l’enfance, la perte, le passage à l’âge adulte et la lumière qu’on essaie de préserver malgré tout.